L’impact est potentiellement énorme en raison des 2,7 milliards d’utilisateurs des services du groupe mais également de la technologie employée. 

« Ce projet représente un risque d’ubérisation massive du secteur des paiements en raison du caractère technique mais également juridiquement innovant des cryptoactifs : contrairement aux prestataires actuels, Facebook serait beaucoup moins dépendant du secteur bancaire ou d’une monnaie nationale. » 

Sur le plan réglementaire, plusieurs interrogations demeurent : ce service subira-t-il la régulation financière (monnaie électronique) ? Entrera-t-il dans le champ des obligations de lutte contre le blanchiment ? Facebook pourrait-il évoluer vers une forme de « banque centrale privée », unique au monde ?

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